Dominique Borrini / Portrait
Dominique Borrini réalise des mises en lumière aussi bien pour l'opéra, le théâtre ou la danse. Il rencontre Klaus Michael Grüber en 1989 pour La Mort de Danton de Büchner aux Amandiers, puis le retrouve pour Hypérion de Maderna à l'Opéra Comique, La Traviata au Châtelet, L'Incoronazione di Poppea, Triptyque Boulez/Grüber au Festival d'Aix-en-Provence, Aïda au Denederlandse Opera d'Amsterdam, Boris Godounov au Théâtre de la Monnaie.
Dominique Borrini collabore également avec Ariel Garcia Valdès sur La Favorite au Real à Madrid, Il Barbiere di Siviglia à l'Opéra de Massy, Syllabaire pour Phèdre de Ohana à Vichy, Place des Héros de T. Bernhard, Les Trois soeurs de Tchekov à Barcelone, Noces de sang à Séville ; avec Laurence Dale sur Le Songe d'une nuit d'été de Mendelssohn, L'Opera Seria de Gassmann au Reisopera, Powder Her Face de T.
Ades, Das Land Das Lächens à Salzbourg, Ariadne Auf Naxos à Monte Carlo; avec Christophe Perton pour Dido and AEneas à Genève, L'enfant Froid de Mayenburg, Le Belvedère d'Horwath, Woyzeck de Büchner; avec Alessandro Baricco sur City au festival RomaEuropa ; avec Marthe Keller sur Dialogues des Carmélites à l'Opéra du Rhin ; avec Louis Erlo pour La Damnation de Faust à Lyon ; avec Peter Konwitschny pour Cassandre au Châtelet ; avec José Luis Gomez pour La Vie est un songe à l'Odéon, Maître Puntilla et son Valet Matti à Madrid'
Dominique Borrini a aussi collaboré avec Marie louise Bischof berger, Jean-Claude Berutti, Vincent Garanger, Yann Joël Colin, Bérangère Bonvoisin, Stéphane Fievet, Sylvain Lhermite, Sergi Belbel, et les chorégraphes Blanca Li, Bernardo Montet, Roland Petit.
De ses rencontres avec différents peintres scénographes, dont Gilles Aillaud, Bernard Michel et Edouardo Arroyo, naît une complicité qui enrichit la palette de son expression dans le traitement dramaturgique de ses espaces de lumière. Dominique Borrini consacre une partie de ses activités à l'enseignement de la lumière et à la muséographie.
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